En partant une semaine dans les Dolomites (ou Sud-Tyrol), j’ai compris le chant d’espoir des lacs qui meurent d’amour, entendu chanter les esprits de la montagne, peint en mille couleurs l’air du vent (Lykorne Pocahontas, vous connaissez ?)… Et mangé des pizzas jour après jour (ça c’est de moi. Si, si, j’vous jure).
Situées entre le Trentin-Haut-Adige et la Vénétie en Italie du Nord, les Dolomites sont inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco ; ce n’est pas étonnant de comprendre pourquoi en découvrant la beauté des paysages, que ce soit en admirant les eaux cristallines du Lago di Braies, les crêtes légendaires des Tre Cime di Lavaredo, la petite église de Santa Magdalena ou les collines dodues d’Alpe de Siusi !
Je suis partie à l’aventure avec ma comparse de voyage favorite, M. (je ne vous fais plus les présentations) à l’automne, pour profiter des couleurs flamboyantes des Dolomites à cette période. Et nous avons eu droit à un petit bonus neige !
Notre itinéraire d’une semaine dans les Dolomites

Lago di Landro
Après quelques routes affriolantes pour accéder au lago di Landro depuis notre logement, ce lac fut notre première découverte lors de notre semaine dans les Dolomites. Et ce que nous y avons trouvé était déjà annonciateur d’un séjour enchanteur. Un lac vert émeraude nous aguiche, transpirant de beauté. Niché au creux des montagnes où se côtoient langoureusement les couleurs automnales et les premières neiges au creux des sommets. Et les nuages qui couvrent et découvrent différentes parties du paysage pour ne pas dévoiler d’un seul coup tous leurs atours…
Nous avons un peu eu droit à la danse du ventre des Dolomites, elles ont tout donné pour nous aguicher. Comment y résister ?





Lago di Dobbiaco
Nous poursuivons notre matinée vers un deuxième lac, à une dizaine de minutes du premier. Situé à Dobbiaco, ce lac s’est formé dans l’antiquité, suite à de nombreux glissements de terrain : Je ne vais pas m’en plaindre, le cadre est idyllique… Les sapins verts, jaunes et orangés se reflètent dans l’eau, un sentier permet de s’imprégner du paysage et de la quiétude du coin . Une quiétude d’ailleurs particulièrement savourée, à l’aube de la deuxième vague de COVID avec la menace d’un deuxième confinement (et donc potentiellement retour express à la maison) qui se fait de plus en plus menaçante. Mais qu’importe, c’est déjà dingue d’avoir pu arriver jusqu’ici dans ce contexte, nous nous émerveillons devant chaque relief, chaque couleur, chaque pizza, et avons profité de chaque bouffée d’oxygène non masquée. Alléluia !




Les Tre Cime di Lavaredo
Les Tre cime du Lavaredo sont LE lieu mythique des Dolomites pour les amoureux de montagne. Il n’est pas question de faire l’impasse sur cette randonnée, nous nous sommes donc levérèto pour découvrir le Lavaredo. Nous avons d’ailleurs même oublié le décalage horaire d’hiver (on ne se refait pas, si vous avez déjà suivi nos aventures en Suède l’année dernière, l’histoire se répète)…
En quelques mots, la randonnée est ébouriffante, stoupéfiante, éblouissante.
Une visite aux Tre Cime di Lavaredo, c’est un peu comme un Flambi… Tu ouvres la languette, tu retournes le tout dans l’assiette et hop, tu profites (Quelle odieuse métaphore, non mais franchement qui aime le Flambi par ici ?).
En savoir plus
Vous n’aurez pas plus d’informations ici petits curieux, si vous souhaitez effectuer cette randonnée, retrouvez toutes les infos pratiques dans mon article détaillé les Tre Cime di Lavaredo, une randonnée mythique !




Il y a quelque chose d’indissociable aujourd’hui entre ma façon d’aborder les voyages et la photo.
Il y a cette urgence d’immortaliser ce que je vois, de garder une trace de ce qui est impalpable, d’avoir une seconde mémoire… Il y a cette petite pression d’avoir pris les bons clichés, de retrouver la lumière qui m’a emportée, les paysages que j’ai vus et qu’avec le temps je risque d’oublier.
Mais peu à peu, il y a autre chose qui naît. Cette envie d’aller justement chercher des détails, de capter des instants, de jouer avec ce que je vois, de réinterpréter, d’inventer, de raconter des histoires. Et j’aime ça. »
Réflexion lykorne kislapète aux tre cime, à brûle-pourpoint


Lago di Braies / Pragser Wildsee
On en a mangé des photos du lago di Braies et sous toutes les postures possibles et imaginables sur les réseaux sociaux. Bidule fait le grand écart sur l’eau, machin chose et son chien cutychewy sont tellement complices dans la barque, trucmuche et trucmuche 2 en mode baiser langoureux sur un ponton en bois. Ce lac est malheureusement un aimant à likes, et c’est comme ça que des lieux paisibles sont transformés en nid à touristes. En nid de déchets et détritus parfois par extension, c’est ce qui est le plus triste. C’est ainsi que la plage de Koh Phi Phi a dû être interdite aux touristes pour protéger son écosystème mis à mal à cause de sa surfréquentation, que Fjaðrárgljúfur a dû fermer ses portes le temps que l’effet de mode suite à l’apparition de Justin Beber dans ce lieu même pour un de ces clips passe… Que des champs de coquelicots et de lavandes sont dévastés chaque année pour faire des photos vues, revues, et rerevues.
Bon, dit comme ça, ça fait un peu lykorne dépressive et moralisatrice (et un tantinet foutage de gueule aussi, parce-que j’en consomme du voyage)… Même si j’apprécie particulièrement partir dans des lieux un peu malaimés ou décourageants pour certains voyageurs (trop froid, trop d’organisation à prévoir, trop loin, trop de trop), il m’arrive aussi, parfois, d’avoir envie de découvrir des endroits mythiques de mes propres yeux. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai atterri dans le Grand Ouest américain ou que je suis sur le point de visiter le lago di Braies. Mais je suis parfois déconcertée par l’impact négatif du tourisme de masse, et/ou par le manque de respect de certains visiteurs sur place.
Alors oui, nous y sommes allées hors saison + période de pré-confinement, et je dois avouer que nous avons eu beaucoup de chance car nous avons justement pu savourer notre balade : et ok, on peut le dire, le lago di Braies, il envoie du pâté.
Je ne vous parlerai pas de la couleur vert émeraude de l’eau, ni des petites barques en bois si photogéniques posées dessus en file indienne, encore moins des montagnes aux sapins flamboyants tout autour, ou des nuages qui viennent caresser leurs sommets enneigés (ça chatouiiiiilllle). Non, je ne vous en parlerai pas.
Conseil de Lykorne Futée : Vous l’aurez compris, si vous voulez découvrir le lago di Braies dans les meilleures conditions possibles, je vous conseille de vous y rendre tôt le matin ou au contraire en toute fin de journée, et plutôt hors saison.
Infos pratiques pour une visite du Lago di Braies
Comptez environ 6€ de l’heure sur les parkings P1 ou P2, situés en amont du Lago di Braies (Pragser Wildsee).
Le tour du lac se fait en une petite heure, avec un chemin facile d’accès, quelques escaliers mais assez bas par endroits, quelques rambardes en bois. Rien de très compliqué !






Lago di Misurina
Il a plu cet après-midi là. Et pourtant, je ne me souviens presque pas de ce menu détail. Nous avons quand même fait le tour du lago di Misurina, avec cette vue imprenable sur les montagnes et ce petit bâtiment jaune devant. Je dis « petit », parce-que, forcément, quand on a des gigantesques molaires en trame de fond, bah on perd un petit peu les échelles. Mettez la Tour Eiffel devant l’Himalaya et elle ressemblera à un polly pocket (oui, j’ai connu les polly pockets… Shit). Bref, cela m’a tout de suite rappelé le film « Grand Budapest Hotel » ; sauf que l’hôtel Grand Budapest était rose ; qu’il n’était pas devant un lac ; et que j’ai appris ensuite que ce bâtiment jaune n’était d’ailleurs même pas un hôtel, mais un opéra ! Dingue, non ?




Lago di Sorapis
J’ai entendu sur le velux de la location qu’il neigeait toute la nuit, je n’ai pas dormi en me disant qu’on ne pourrait jamais prendre la route pour se rendre au lago di Sorapis le lendemain. Et cela fait pourtant partie des coins que je voulais absolument voir. La couleur bleue laiteuse de ce lac due à son origine glaciaire m’a souvent sidérée sur les photos croisées jusqu’ici. Et en plus, ça avait l’air de ressembler un peu à ces paysages de Patagonie qui me font tant rêver. Nous avons finalement pu y aller, en nous faisant toute de même arrêter sur la route (pour la deuxième fois du séjour) par des gendarmes (les mêmes que la première fois) ; ils ont trouvé qu’on n’avait pas assez déneigé le toit de l’habitacle. Au moment de nous ranger sur le côté, l’épais manteau neigeux nous est tombé sur le pare-brise, comme pour leur donner raison. Plutôt serviables, ils ont déneigé à la main notre humble carrosse, repris nos pièces d’identité et ont disparu 20 minutes à l’arrière de leur voiture. Ils devaient être à la trace, ché pas, d’un éventuel casier, d’un ou deux vols de fraises Tagada, d’un tag Lykorne dans les toilettes du Lycée. Mais non, sachez que la Lykorne n’est PAS recherchée.
En savoir plus
Si vous voulez en savoir plus sur cette randonnée du Lago di Sorapis, je vous conseille de vous téléporter du côté de mon article détaillé le Lago di Sorapis, ma randonnée coup de cœur dans les Dolomites !




Santa Magdalena / Eglise San Giovanni
Nous devions aller à Seceda ce jour-là, et trouver le télécabine Ortisei-Furnes-Seceda depuis le centre d’Ortisei. Il se trouve que le télécabine était fermé à cette période… Pour ceux qui souhaitent y aller, vous pouvez consulter les dates d’ouverture et fermeture (il a l’air ouvert de décembre à avril) et même réserver vos billets d’environ 25 euros par personne en ligne ici. Nous avons donc décidé de changer nos plans et de partir du côté de Funes (Louiiiis, si tu m’entends), pour aller voir la jolie petite église San Giovanni à Santa Magdalena.
Nous avons passé un portique ambiance tourniquet de métro en payant 2 euros par personne pour pouvoir y accéder… Nous avons hésité, mais avons pensé qu’il y avait tout un chemin de randonnée à faire (j’avais déjà croisé ce genre de pratique pour certaines randonnées des Iles Féroé. Mais sans le tourniquet, juste une petite boîte aux lettres sur un portillon en bois ^^). Nous avions déjà raté un rendez-vous avec Seceda, ce serait dommage de ne pas voir la petite église si charismatique de San Giovanni. Au final, le trajet prend 3 minutes top chrono. Encore quelques dérives touristiques. Peut-être aussi pour protéger cette petite église des touristes peu respectueux des lieux… Mais sachez que vous n’avez pas besoin de payer pour profiter de la belle vue de l’église avec son petit dôme arrondi et le massif du Sass Rigais qui se découpe derrière elle : nous nous sommes rendues compte ensuite qu’il y avait pleins d’autres angles de vue très sympas depuis la ville.



Ensuite, nous avons vadrouillé au hasard des ruelles. Nous avons trouvé un petit banc dans les hauteurs de Santa Magdalena ; à notre droite, nous avions une vue sur des collines rebondies aux couleurs automnales. Et légèrement sur notre gauche, un coucher de soleil sur les cimes des montagnes enneigées. Je mange mon Yop à la banane et une barre chocolatée. Un moment magique.





La nuit nous guette, il est temps de partir vers notre nouvelle location… Nous avons emprunté une route féérique ce soir-là. Nous étions sur une toute petite route cabossée, avec quelques rares chalets, des sapins emmitouflés d’un manteau de neige, des montagnes aux dents acérées. Et la lune qui nous éclairait.


Alpe di Suisi

Après le lago di Psoriasis, nous voilà sur le point de rendre visite aux Alpes des soucis…. Décidément… Ce qui fait son succès habituellement, c’est plutôt son côté verdoyant, ses collines bucoliques, ses champs. Pour nous, ce sera un peu différent, puisque les paysages sont recouverts d’un douillet duvet neigeux, mais ce n’est pas pour me déplaire, bien au contraire (nom d’une Lykorne d’hiver) !
Nous arrivons à Compatsch avec le télécabine, et décidons de suivre le sentier n°30. La balade est très agréable, au milieu de paysages enchanteurs, avec une vue sur le Sassopiatto, montagne caractéristique des Alpe di Siusi. Les sapins nous saluent tout au long du trajet. Nous croisons plusieurs refuges sur notre route, le Gostner Schwaige tout d’abord, le Rauchhütte, et enfin le Saltner Schwaige du côté de Saltria. Vous pourrez y faire un stop pour déjeuner si vous le souhaitez. Mais nous avons préféré nous improviser un pique-nique frigorifique avec vue <3.
J’ouvre une petite parenthèse culinaire, il se trouve que je me rends compte que je fais beaucoup (trop ?) de références à la nourriture, et ce dans chacun de mes articles. Mais en voyage, j’ai un plaisir tout particulier à manger des trucs que j’aime bien (avec du chocolat, ou du fromage, du saucisson, des myrtilles) en profitant des paysages.
Et sinon, nous avons eu la surprise de croiser des biches sur le trajet retour (aucun rapport avec la choucroute… Oups !) !






Infos pratiques
Comment se rendre aux Alpe di Suisi ?
Il y a plusieurs façons d’accéder aux Alpe di Suisi. La route jusqu’à Seiser Alm est fermée de 9 à 17 heures. Vous pouvez néanmoins prendre un bus ou le télécabine. Le télécabine se prend depuis Siusi, c’est le Seiser Alm Bahn – Cabinovia Alpe di Siusi. L’aller retour coûte 18 euros 50.
Retrouvez plus d’informations ici


Lago di Valparola
Notre séjour aux Dolomites touche à sa fin… Sur la route qui nous sépare de l’aéroport (et du deuxième confinement qui nous attend sagement en France), nous faisons plusieurs arrêts, comme pour retarder l’échéance.
Le premier près du lac Valparola (ou lac Valhalla ;D), parce-qu’il est vraiment beau, il fond bien… Euh il se fond bien dans le paysage !


Castello di Andraz
Le deuxième en croisant la route d’un château en ruines au milieu des sapins verts et orangés. Le mélange de couleurs est détonnant et la scène est mélancolique à souhait… Perché sur un éperon rocheux, le Castello di Andraz daterait d’avant l’an 1000.



Parc national des Dolomites Bellunesi
Nous avons fait le tour de ce parc en voiture, avec un stop sur les rives du Lago del Mis pour un dernier au-revoir. Le parc a l’air magnifique, et comporte de nombreuses randonnées même si, du côté de Belluno, nous sentons malheureusement les ravages dûs à la tempête de novembre 2018…

Bilan de notre semaine dans les Dolomites
Nous avons passé une semaine enchantée dans les Dolomites : nous avons appris que les lacs aux couleurs éblouissantes s’endorment au creux des forêts de sapins et des montagnes, que les collines chantent, que les cimes des montagnes se nourrissent de nuages (les goinfres)…
Et que, manger autre chose que des pizzas et des pastas, c’est tricher. Bon, je suis incurable, vous l’aurez compris, je n’arriverai peut-être pas à m’arrêter de parler nourriture dans mes articles. Mais rassurez-vous : aucun plat de pâtes ni aucune pizza n’ont été maltraitées lors de mon séjour. Gloups.

Infos pratiques pour un séjour d’une semaine dans les Dolomites
Où manger dans les Dolomites
Pizzeria Restaurant Hans
Une adresse à ne pas manquer, les plats de pâtes, pizzas sont excellents, l’accueil est chaleureux et le restaurant est confortable, bien décoré. Bon rapport qualité/prix.
Pizzeria Stadio
Pas les meilleures pizzas qu’on ait mangées, mais l’ambiance est décontractée et chaleureuse, le service parfait, c’est vivant, animé. La pizzeria se situe dans une patinoire !
Pizzeria Ristorante Salvan
De bonnes pâtes, un très bon Tiramisu, on a beaucoup aimé !
Où dormir dans les Dolomites
Haus Oberpauler Gsell
Un logement cosy, bien décoré, chaleureux avec des hôtes très accueillants et généreux. Idéal pour visiter la partie Est des Dolomites (les Tre Cime, lago di Braies, lago di Sorapis, lago di Misurina etc.)
Appartamenti Sotgherdena
Un logement très propre et avec une vue magique sur les montagnes et un emplacement idéal pour visiter la partie Ouest des Dolomites (Funes, Ortisei, Alpe di Siusi, Seceda etc.)
Je ne propose dans ma sélection uniquement les adresses que j’ai testées lors de mon séjour d’une semaine dans les Dolomites. Pour avoir plus de choix, vous pouvez vous rendre directement sur Booking.
Quand partir dans les Dolomites
Pour avoir parcouru quelques articles de blogs, j’ai l’impression que les Dolomites sont belles en toutes saisons !!! Je vous déconseille néanmoins peut-être juillet et août, il y a beaucoup de bouchons sur les petites routes, c’est la guerre pour trouver une place sur les parkings et les randonnées sont bondées.
Nous sommes parties une semaine fin octobre début novembre dans les Dolomites et c’était vraiment agréable d’avoir le contraste entre les couleurs automnales et les premières neiges. Si vous ne voulez pas avoir de lacs gelés, partez plutôt en septembre ou début octobre !
Conduire dans les Dolomites
Nous avons beau être en haute montagne, les routes sont bien entretenues, les vitesses sont respectées et les automobilistes roulent globalement prudemment. Le road-trip fait partie du voyage, les paysages aperçus depuis la voiture sont souvent magnifiques, nous avons fait plusieurs arrêts intempestifs, bouche-bée devant la beauté des reliefs qui nous entouraient.
Vitesses à respecter
50 km/h en ville
90 km/h sur les routes
110 km/h sur les chaussées à deux bandes
130 km/h sur les autoroutes.
Grazie per avermi letto fino alla fine, adio bambinos stracciatella tutti fruti…
16 Comments
Corinne - Le Boudu Monde
14 janvier 2021 at 14:42Un joli article aux magnifiques photos pour me rappeler ces paysages qui ont enchanté mes pupilles pendant plusieurs jours. J’ai beaucoup ri devant ta photo qui te montre complètement dépitée face au lac du Psoriasis sans eau laiteuse mais au magnifique mister freeze pour le recouvrir ! Ca change complètement les paysages !
la lykorne illettree
21 janvier 2021 at 14:10Merci beaucoup Corinne, en effet, le lac de Psoriasis est magnifique gelé aussi (c’est mon amie M. sur la photo, je ne pensais pas qu’elle avait l’air dépitée de presque dos 😀 :D) ! Contente de t’avoir rappelé des souvenirs, et merci beaucoup pour ton commentaire <3
Alexandra
20 janvier 2021 at 20:38Ma licorne adorée, c’est un de tes plus beaux articles ! Une vraie merveille ! Je suis enchantée, fascinée, entre souvenir et désir de les revoir encore…
la lykorne illettree
21 janvier 2021 at 14:16<3 <3 <3 Merci Alexounette, cela me fait rosir de plaisir !!!!!! J'ai marché sur tes traces, cela faisait longtemps que je voulais découvrir les Dolomites et avec les couleurs automnales c'était magique :D :D :D ! Gros bisous :)
Sarah
20 janvier 2021 at 20:58Juste somptueux ! Assez blasée de voir toujours les mêmes photos des Dolomites ton article y fait merveilleusement honneur. Tes photos sont sublimes.
la lykorne illettree
21 janvier 2021 at 14:18Merci beaucoup Sarah, ça me touche d’autant plus que j’aime bien essayer de trouver des angles qui changent un peu mais c’est un exercice difficile, on reste parfois malgré tout influencés par les clichés qu’on a vus… Alors tant mieux si c’est ce que tu ressens en lisant l’article <3
Annabelle
1 février 2021 at 03:30Ça fait bien longtemps que j’ai envie de randonner dans les Dolomites, j’arrive ici et tu m’envoies tout ce rêve en photos et en mots! Encore plus difficile de ne pas vouloir réserver à l’instant (bon, je peux pas sortir du pays alors, ça attendra ^^) mais tu me convaincs que je ne rêvais pas pour rien. C’est vraiment un opéra et pas un hôtel ?!?
la lykorne illettree
2 mars 2021 at 23:41Oui, il va falloir être patiente, mais je suis sûre que des temps seront de nouveau propices à l’exploration ! En attendant, comme tu dis, rêvons par procuration <3 ! Oui, à priori, c'est un opéra... C'est Google Maps qui le dit 😀 ! Merci pour ton commentaire !
coline
1 mars 2021 at 19:38Ton article a l’air tellement complet !! et les dolomites nous font vraiment de l’oeil alors on le garde à proximité !
la lykorne illettree
2 mars 2021 at 23:41Merci beaucoup Coline !
Thibaud
2 avril 2021 at 18:53Bonjour,
Super blog, très agréable à lire. Une question me chiffonne cependant au sujet de vos nuits dans le parc. Peut on faire du bivouac dans les dolomites ? (Je parle de tout le parc naturel, pas uniquement la boucle des tre cime).
Merci pour votre réponse !
la lykorne illettree
8 juin 2022 at 23:08Ma réponse arrive sûrement trop tard, mais au cas où ça pourrait être utile à d’autres personnes ;). Le bivouac était autorisé lorsque j’y suis allée (je parle d’octobre 2020, alors ça a pu changer depuis).
Merci pour ces quelques mots !
Mandy
20 janvier 2022 at 12:34Cet article en met plein les yeux !! J’avais très envie de découvrir les Dolomites, et là clairement tu me donnes envie de partir tout de suite ! haha
Toutes tes photos sont superbes et j’ai un immense coup de cœur pour ta photo à Tre Cime di Lavaredo, la photo panoramique, avec les montagnes et le bâtiment au milieu. C’est irréel.
Je suis fan !
la lykorne illettree
8 juin 2022 at 22:59Merci beaucoup pour ton commentaire (réponse très réactive, mieux vaut tard que jamais :)). Le Tre Cime reste un des endroits les plus marquants de mon périple <3 !!! Des bisous
campone
26 mai 2022 at 12:26Précisions géographiques, administratives et culturelles.
Les Dolomites italiennes s’étalent d’ouest en est, sur 3 régions bien différentes et on y parle majoritairement l’italien:
-la région autonome du Trentin-Haut-Adige, avec ses 2 provinces autonomes le Haut-Adige(Tyrol du Sud), où l’on parle les langues minoritaires allemande et ladine, et le Trentin,
-la région Vénétie avec la province de Belluno,
-la région autonome du Frioul-Vénétie julienne avec ses 2 provinces de Pordenone et d’Udine, où l’on parle la langue minoritaire, le frioulan (qui n’est pas un dialecte de l’italien).
la lykorne illettree
8 juin 2022 at 22:51Nom de mon blog : la Lykorne (très) Illettrée.
But : partager des itinéraires de voyage, des bons plans, des ratés, des anecdotes ????.
Pour des détails géographiques, linguistiques culturels plus poussés : allez donc voir du côté de wikipédia, intellopedia, jveutoulédétailpedia ????.
Ici, c’est pour le plaisir, la détente, sans prétention, aucune.
Et sinon, vous en avez pensé quoi ?